• la Gonorrhée

    rrhée est un terme médical signifiant "écoulement" ... au passage, merci a mon prof de termes médicaux qui nous faisait annônner longuement ces putains de mots, donc aujourd'hui je me la pète.

    donc diarrhée... vous parlera mieux  et logorrhée également pour ceux qui ne savent pas fermer leur gueule pour écouter les autres.

    gono vous l'imaginez bien veut dire... hum... hum??? burne!!! boule, couille, testiculetout simplement...

    et quand vous lirez l'article vous comprendrez pourquoi cette IST, terme qui a remplacé le terme MST, somme toute assez désagréable porte ce nom.

     

    et quand on y apprend que le second nom de cette maladie est blennorragie, que -rragie signifie: ... écoulement ( hémorragie: écoulement du sang)... on imagine tres bien quel peut être le symptôme principal de cette maladie qu'on a envie de chopper juste pour voir ce que ca fait non????

    pas besoin de se taper l'article pour savoir comment on évite de se remplir les burnes de pus... les préservatifs, un point de plus pour les lèche-cul.

     

    bonne lecture mes amis!

     

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    La gonorrhée, qu’on appelle également blennorragie, est une infection sexuellement transmissible (IST) causée par la bactérie Neisseria gonorrhoeae (ou gonocoque). Elle a longtemps été confondue avec la syphillis. Elle se développe particulièrement bien dans les régions chaudes et humides de notre organisme, telles que l’urètre, le vagin, l’anus, la matrice reproductive de la femme, la gorge et les yeux.

     

     

    Elle va, elle vient…

    Cela fait seulement quelques années que la blennorragie a été détrônée par l’infection à chlamydiae sur le podium des IST les plus courantes. C’est désormais la quatrième, mais elle infecte encore 500 000 personnes tous les ans en France. Un pic important a d’ailleurs été constaté en 2010, surtout dans les provinces françaises, avec une augmentation de 51 % pour les hommes et 75 % pour les femmes.

    Des lames de rasoir

    La gonorrhée touche principalement les sujets jeunes et souvent masculins. Les symptômes surviennent généralement deux à sept jours après le rapport. Les hommes remarquent très vite une vive douleur au moment d’uriner, ainsi qu’une certaine urgence à aller au petit coin. Plus impressionnant, une décharge de pus peut s’écouler du pénis, et les testicules, ainsi que le méat urinaire, peuvent être gonflés, douloureux. Chez les femmes, en dehors des formes asymptomatiques plus sournoises, les symptômes sont très similaires, en y ajoutant une poussée de fièvre, des douleurs au bas-ventre ainsi que pendant les rapports. Les femmes ressentiront toutefois les symptômes de façon plus diffuse, et le principal danger pour elles sera donc de confondre la gonorrhée avec une infection urinaire plus classique.

    Parfois irréversible

    Si elle n’est pas traitée à temps, la gonorrhée peut avoir des conséquences difficiles. Les risques les plus sérieux sont devenus rares avec le développement de la médecine du XXe siècle, mais des dommages irréversibles peuvent tout de même survenir au niveau des articulations, des valves cardiaques et du système nerveux central.

    Plus communément chez l’homme, cette maladie peut provoquer un abcès au niveau de l’urètre avec de douloureuses cicatrices. Chez la femme, c’est l’infertilité qui guette, également pour des raisons cicatricielles, surtout dans la région des trompes de Fallope : la nidification peut s’en trouver totalement empêchée. Une grossesse ectopique, c’est-à-dire en dehors de l’utérus, fait aussi partie des dangers potentiels.

    Au-delà de ces risques très sérieux, il arrive que des douleurs pelviennes surviennent, surtout au moment des rapports sexuels. Et comme nous l’avons mentionné plus haut, les symptômes étant particulièrement sournois chez les sujets féminins, il arrive plus souvent que la gonorrhée ne soit pas traitée rapidement.

    Enfin, on sait que la gonorrhée augmente l’incidence d’être infecté par le VIH.

    Merci la médecine moderne !

    Tout cela est d’autant plus déplorable que les traitements antibiotiques contre la chaude-pisse sont très efficaces et résolvent rapidement le problème… Ensuite, il ne faut pas oublier de revenir pour une visite de contrôle, car certaines souches ont développé une résistance aux cocktails d’antibiotiques. Cependant, le meilleur traitement préventif reste le préservatif (même pour la fellation) ou la digue dentaire pour le cunnilingus, à moins que vous ne préfériez l’abstinence…"

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